VOYANCE OLIVIER

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La fonte des neiges laissa apparaître le jardin, encore endormi, mais déjà prêt à bien refleurir. Dans ce renouveau plus sain, la bâtisse montra un traits plus faciles, presque rajeuni. Ses murs demeuraient anciens, mais leur patine semblait marquée d’une flagrante noblesse, de façon identique à bien un parchemin au sujet duquel le temps avait calligraphié la rappel de mille existences. Madeleine aimait, à bien l’aube, fustiger les allées environnants pour ramasser huit ou 9 plantes ou herbes sauvages. Elle préparait plus tard des infusions qu’elle partageait avec les rares consommateurs matinaux, produisant un coutume journalier de douceur et d’échange. Elle expliquait aux intéressante que la personnalité environnante, tout tels que la famille, portait en elle une attestation énergétique. Le coulant fait de s’y promener, de la connaître par-dessous ses pas, contribuait à traiter les blessures intérieures. 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